La terre a des limites, mais la bêtise humaine est infinie, Correspondance
EAN13
9782368908303
ISBN
978-2-36890-830-3
Éditeur
Le Passeur
Date de publication
Nombre de pages
249
Dimensions
18,1 x 11,2 x 1,3 cm
Poids
137 g
Langue
français
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La terre a des limites, mais la bêtise humaine est infinie

Correspondance

De ,

Préface de

Le Passeur

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Il existe une relation quasi filiale entre Flaubert et Maupassant. Le premier a 52 ans quand débute cette correspondance, le second 23 ans. Ils ne se quitteront plus jusqu’à la mort de Flaubert, en 1880. Ainsi, cette correspondance permet de suivre Flaubert dans les sept dernières années de sa vie et Maupassant dans ses sept premières années en littérature.Flaubert s’intéresse d’abord à lui parce qu’il est le neveu d’Alfred Le Poittevin, son ami d’enfance. De cette relation va naître une véritable amitié que traduit fidèlement ces lettres.Comme l’écrit la préfacière, « tous deux éprouvent du mépris pour la masse, l’esprit bourgeois, l’égalitarisme, le suffrage universel, la soutane ; et tous deux se délectent à la lecture des grands auteurs. La détestation de la médiocrité et l’amour de la littérature les réunissent ».Par certains côtés, Flaubert tient avec Maupassant le rôle que tenait George Sand avec lui, celui d’un « conseiller de vie » plus qu’un esthète. Cette correspondance est un morceau de vie partagé entre deux génies.
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Alors que nous célébrons cette année le bicentenaire de la naissance de Gustave Flaubert, Véronique Bui, maître de conférences en Littérature française du XIXe siècle à l'Université Le Havre Normandie, évoque la correspondance entre deux écrivains normands, Flaubert et Maupassant. Cette correspondance fait l'objet d'un livre qui vient de paraître, "La terre a des limites, mais la bêtise humaine est infinie", dont Véronique Bui a signé la préface.

Nous avons convié Juline Loquin et Ruddy Tonga, étudiants du master management et marketing international par apprentissage de l'Université du Havre, à lire un extrait de la correspondance entre Flaubert et Maupassant, tiré du livre "La terre a des limites mais la bêtise humaine est infinie" (éditions Le Passeur), préfacé par Véronique Bui, maître de conférences en Littérature française du XIXe siècle à l'Université Le Havre Normandie.

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