- EAN13
- 9782267024593
- Éditeur
- Christian Bourgois
- Date de publication
- 07/03/2013
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
En 1844, Isabella Walker épouse en secondes noces l’ingénieur Henry Robinson
avec qui elle s’installe à Édimbourg. En 1850, elle rencontre Edward Lane,
brillant étudiant en médecine. De dix ans son cadet, il est marié à la fille
de Lady Drysdale, qui tient un salon où elle reçoit les intellectuels de
l’époque. Au fil du temps, ils nouent une correspondance. Isabella s’éprend de
lui et rend compte de cette passion dans son journal intime. Nul ne connaît la
réelle teneur de leur relation, mais lorsque Henry découvre ces écrits, en
1855, il décide d’engager une procédure de divorce. S’ensuit un procès houleux
devant la cour des Divorces, tribunal laïc créé quelques mois plus tôt. Dans
la société victorienne régie par les hommes, la question de l’adultère féminin
suscite en effet émotions et préjugés… À partir d’archives judiciaires et
d’articles de presse, Kate Summerscale traite son sujet comme une véritable
histoire policière, ménageant le suspense avec art. « Les reconstitutions des
scènes de procès sont vives et captivantes. Les recherches que Summerscale a
effectuées sont impeccables et sa narration parfaitement menée et documentée.
» (Evening Standard) « Le cadre de l’histoire est victorien mais le sens de la
vie qu’il contient est moderne : non résolu, ce sens demeure ouvert… » (Philip
Hensher, The Spectator)
avec qui elle s’installe à Édimbourg. En 1850, elle rencontre Edward Lane,
brillant étudiant en médecine. De dix ans son cadet, il est marié à la fille
de Lady Drysdale, qui tient un salon où elle reçoit les intellectuels de
l’époque. Au fil du temps, ils nouent une correspondance. Isabella s’éprend de
lui et rend compte de cette passion dans son journal intime. Nul ne connaît la
réelle teneur de leur relation, mais lorsque Henry découvre ces écrits, en
1855, il décide d’engager une procédure de divorce. S’ensuit un procès houleux
devant la cour des Divorces, tribunal laïc créé quelques mois plus tôt. Dans
la société victorienne régie par les hommes, la question de l’adultère féminin
suscite en effet émotions et préjugés… À partir d’archives judiciaires et
d’articles de presse, Kate Summerscale traite son sujet comme une véritable
histoire policière, ménageant le suspense avec art. « Les reconstitutions des
scènes de procès sont vives et captivantes. Les recherches que Summerscale a
effectuées sont impeccables et sa narration parfaitement menée et documentée.
» (Evening Standard) « Le cadre de l’histoire est victorien mais le sens de la
vie qu’il contient est moderne : non résolu, ce sens demeure ouvert… » (Philip
Hensher, The Spectator)
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