Le quartier des femmes savantes, Quand le corps se livre
EAN13
9782494231290
Éditeur
Terres de l'Ouest
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Le quartier des femmes savantes

Quand le corps se livre

Terres de l'Ouest

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Le papa du n°16, la maman koala du 50 ou celle plus mystérieuse du 71 sont
autant de personnalités que Miranda Charteau croise chaque jour dans sa rue.
Ils se croisent… mais ne se rencontrent jamais !
Autant de personnes qui ont le même médecin traitant, la même
kinésithérapeute, mais des horizons différents. Jalouser, convoiter, critiquer
ou épauler, la pigmentation du quartier est à l’image de la nuance des désirs
de chacun. Leur environnement a beau être le même, leur trajectoire est
différente. Miranda n’a, en définitive, aucune idée d’appartenir à une
mosaïque dont la forme ne prendrait son sens qu’avec du recul.

Ce roman dépeint des tranches de vie du quartier bordelais des Femmes Savantes
comme un miroir du monde. L’occasion d’une intense réflexion sur le corps, la
pudeur et l’intime. Sillonner ce quartier une année durant, suivre Natacha,
Rodolphe, Pierre, Ariane, Jade et les autres, c’est peut-être faire l’un des
plus beaux voyages : celui qui porte vers l’autre.

Une chose est sûre, vous ne regarderez plus jamais votre quartier de la même
manière…


À PROPOS DE L'AUTEURE


Perrine Austry est originaire de la région Toulousaine.
Après avoir enseigné la Philosophie entre autres à Arcachon, elle a
dernièrement élu résidence du côté de Bordeaux. Touchée par la maladie, elle
est longuement hospitalisée, ce qui lui permet d’écrire son premier roman,
Rouge Fusion, un ouvrage sur le handicap et la maladie. Elle se consacre
désormais de manière exclusive à l’écriture. Une passion qu’elle met au
service d’une cause : proposer par le biais de la fiction une analyse
psychologique sur les violences faites par les femmes aux hommes au sein du
couple. Deux ans d’enquête ont été nécessaires pour écrire Rouge fusion.
L’objectif pour la jeune femme est également de lever le voile sur «certains
préjugés sociétaux» et «d’ouvrir le regard sur un phénomène marginal, mais
réel». C’est tout naturellement que sa plume a pris cette orientation, car
l’ancienne enseignante titulaire d’une licence et d’un master en philosophie a
également suivi une licence en psychologie.
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